Amnesty International a invité le Mali, le Burkina Faso et le Niger à reconsidérer leur décision après l’annonce officielle du retrait des trois pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) de la Cour pénale internationale (CPI).
Dans une note publiée hier, l’organisation de défense des droits humains a qualifié cette mesure de recul préoccupant dans la lutte contre l’impunité dans le Sahel et dans le monde.
Plus de détails avec Alpha Aboubacar