Au Libéria, une affaire de viol impliquant le vice-ministre du Développement de la jeunesse, Bryant McGil, provoque une onde d’indignation à travers le pays. Le Président Joseph Boakai a immédiatement suspendu le responsable après la publication d’allégations de viol à son encontre.
La police libérienne a annoncé qu’un test ADN sera effectué à l’international avant toute éventuelle arrestation. Une décision qui a ravivé la colère de plusieurs organisations féministes dans le pays. Elles ont saisi les Nations unies à travers une pétition.
Plus de détails avec Demba Amar ANNE, sur la base des notes de notre correspondant au Libéria.













