En Guinée, à un peu moins de deux mois de la présidentielle du 28 décembre prochain, le processus électoral est bel et bien en marche. En fin de semaine dernière, la Cour suprême a mis en place deux commissions : l’une chargée de la réception et de la validation des dossiers de candidature, et l’autre, composée de médecins assermentés, dédiée à la vérification de l’aptitude physique des candidats.
Ces démarches interviennent toutefois dans un contexte politique tendu. Une partie de la classe politique réclame le report du scrutin ou la révision préalable du code électoral, tandis que d’autres plaident pour l’ouverture d’un dialogue inclusif réunissant l’ensemble des acteurs.
Détails et analyse avec notre correspondant à Conakry, Thierno Alpha Ibrahima Baldé.











