En Guinée, à moins de trois mois de l’élection présidentielle prévue le 28 décembre 2025, l’annonce de la création de deux nouvelles commissions par la Direction Générale des Élections suscite des réactions contrastées.
Pour le pouvoir, cette initiative traduit une volonté de transparence. Mais pour l’opposition, elle illustre une fuite en avant d’un régime qui cherche à garder la main sur le processus électoral.
Reportage de Thierno Alpha Ibrahima Baldé.