En Guinée, alors que la Direction générale des élections poursuit les préparatifs du référendum constitutionnel prévu le 21 septembre 2025, une nouvelle fracture vient assombrir le climat politique.
Mercredi, lors de la cérémonie de mise en place du Comité Inter-Parties, instance chargée d’assurer la veille technique et politique du processus référendaire, les principales formations politiques d’opposition ont brillé par leur absence.
Ces partis rejettent en bloc les démarches déjà engagées par la Direction générale des élections, qu’ils jugent unilatérales et non concertées.