Amnesty International exhorte le gouvernement ghanéen à fermer les camps de sorcières situés dans le nord du pays. Plus de 500 femmes, accusées de sorcellerie, y vivent dans des conditions jugées déplorables.
Dans un nouveau rapport, l’organisation de défense des droits humains dénonce des atteintes graves à la dignité et appelle les autorités à prendre des mesures immédiates. Elle demande également à promulguer la loi contre la sorcellerie.
Un récit signé Sanni Moumouni Seibou, sur des notes de notre correspondante à Accra, Naa Dedei Tettey.