L’insécurité frappe de plein fouet le secteur de l’artisanat burkinabè. Depuis le début de la crise sécuritaire, les acheteurs professionnels se font de plus en plus rares dans le pays. En conséquence, les artisans peinent à écouler leurs œuvres.
Dans les ateliers, ils se tournent les pouces et appellent les autorités à l’aide. Le constat dans ce sujet de notre correspondant, Martin Kaba.