Au Togo, l’état n’a toujours pas réagi à sa condamnation hier mercredi par la cour de justice de la CEDEAO.
Il est sommé de libérer immédiatement et sans condition 10 personnes arrêtées pour atteintes à la sûreté de l’Etat lors d’une protestation en 2019.
La Cour de justice de la CEDEAO demande aussi l’indemnisation de ces personnes et une enquête sur les traitements je cite « cruels, inhumains et dégradants » qu’ils auraient subis.
L’Association des victimes de la torture au Togo compte désormais se battre pour l’application de cette décision de justice par les autorités Togolaise.
